bois perdu zelda breath of the wild sanctuaire

Replongezvous dans cette nostalgie (moi c’était la Super Nintendo avec Super Mario Kart, Zelda et Mario, par la suite il y en eu d’autre). Une fois bien au chaud, baigné par cette douceur du passé, cette mélancolie rassurante, plongez dans Zelda Breath of the Wild, votre expérience sera cent fois celle qui vous a émue, bon voyage. Làoù les autres développeurs s’échinent à créer des univers flamboyants, mais sans véritable logique, ce Legend of Zelda: Breath of the Wild mise avant tout sur la cohérence de son environnement et de la nature, en s’en servant pour poser les bases principales de son gameplay. Une simple utilisation du bon sens que chacun connaît. TheLegend of Zelda: Breath of the Wild ITA [Partie 24 - La Spada Suprema] Vous devrez d'abord atteindre le bois perdu, qui se trouve dans la forêt d'Hyrule : il est situé sur une grande île au nord du château et à l'ouest du mont Mort (utilisez-les comme point de référence principal). Où se trouve l'épée légendaire Zelda ? L'épée maîtresse est située Voiciune carte globale des Sanctuaires d'Hyrule. Découvrez nos cartes et solutions des sanctuaires zone par zone pour plus de détails sur l'emplacement des Ilexiste 42 missions "Sanctuaires" qui sont liées à des énigmes débloquant l'accès à un sanctuaire. Donc, sur les 120, il y en a 42 qui sont planqués, il faut donc utiliser sa tête pour les dénicher. Les statues des Sept Héroïnes ne sont pas bien compliquées. Site De Rencontre Amoureuse A Abidjan. Le Héros de la Légende ». C’est comme cela que m’a appelé ce vieil homme que j’ai rencontré sur le Plateau du Prélude avant de me confier la lourde tâche de libérer le monde d’Hyrule du mal qui le rongeait. Je ne me souvenais pas de grand-chose à l’époque. Je venais de me réveiller d’un long sommeil de cent années dans ce qu’on appelait le Sanctuaire de la Renaissance, et j’avais totalement oublié les évènements que j’avais vécus, ou les gens que j’avais connus avant de reprendre conscience. Nombre de mes ancêtres avaient déjà été confrontés à la menace de ce fléau appelé Ganon. Mais l’aventure que j’ai traversée, maintenant que j’y réfléchis, me semble bien différente de ce qu’ils ont pu connaître, même si certaines similitudes subsistent. Il m’aura fallu du temps pour recouvrer tous mes souvenirs et faire le tri dans les innombrables choses que j’ai pu voir, bonnes ou mauvaises, au cours de cet ambitieux voyage. Je l’ai entrepris avec, je l’avoue, énormément d’enthousiasme, en dépit des multiples dangers qui m’attendaient. Et aujourd’hui, il me semble nécessaire de garder une trace de toute cette histoire ; une histoire que chacun aurait pu vivre différemment, dont je ressors moi-même animé du même enthousiasme que celui du début, mais aussi d’une pointe d’amertume, les choses ne s’étant pas toujours passées de la meilleure des façons. Le réveil d'un hérosJe me souviens donc d’avoir ouvert les yeux, bercé par la douce voix d’une jeune fille qui m’apaisa instantanément, me soulageant un peu de la peur qui commençait à s’emparer de moi, alors que je n’avais aucune idée de qui j’étais, ou de ce que je faisais dans ce qui n’était alors pour moi qu’un temple sombre et mystérieux. Je ne savais pas non plus à qui appartenait cette voix, mais je sentais au plus profond de moi-même que je devais l’écouter. Après avoir revêtu chemise et pantalon, je découvrais alors un objet qui allait constituer l’une des éléments principaux de toute mon aventure la tablette Sheikah. Outre le fait d’être la seule et unique clef me donnant accès aux sanctuaires ou à ces Créatures Divines que j’allais devoir reprendre à Ganon, cette fameuse tablette allait surtout se révéler indispensable grâce à la carte de tout le Royaume qu’elle contenait. En contrepartie, il me faudrait remplir cette carte, originellement vierge de toute information détaillée, en escaladant les hautes tours situées dans chacune des quinze grandes zones d’ le temps était venu pour moi de quitter le sanctuaire de la Renaissance afin de découvrir le monde qui m’entourait. Et je réalisais en posant mes yeux encore somnolents sur ce vaste paysage verdoyant qu’explorer ce monde, dont je croyais alors tout ignorer, serait un travail de très longue haleine. Il me semblait pourtant avoir déjà eu l’occasion de visiter des univers de grande ampleur. Mais celui qui se montrait à moi me semblait, à première vue d’une richesse incomparable. Toutefois, avant de pouvoir le vérifier, il allait d’abord me falloir trouver le moyen de quitter le Plateau du Prélude où je m’étais donc réveillé, la zone étant très en hauteur par rapport aux autres. Je ne pouvais me risquer à descendre une telle distance en m’agrippant à la paroi sans risquer de lâcher prise, me sentant alors trop peu endurant ; et sauter de si haut n’était évidemment pas une aucune véritable indication sur le chemin à suivre, j’aurais pu rapidement me sentir un peu perdu si mes yeux n’avaient pas fini par remarquer ce vieil homme au loin, qui semblait m’observer. Si je m’étais souvenu de sa véritable identité, je ne me serais guère étonné des nombreuses connaissances qu’il semblait avoir des environs, ou même des quelques secrets dont il m’a fait profiter. Rapidement, il m’a demandé d’explorer ce qu’il appelait les quatre sanctuaires du Plateau du Prélude. Ces derniers allaient me permettre de récupérer quatre pouvoirs qui allaient m’être plus ou moins utiles durant toute mon épopée. Une tablette Sheikah aux pouvoirs étrangesEn premier lieu, je récupérais le pouvoir des bombes. De deux types, il y avait d’abord les rondes qui, de par leur faculté de rouler, me permettaient de combattre plus facilement les ennemis éloignés, et qui étaient parfaitement adaptées à certains types de mécanismes. Puis il y avait celles de forme carrée, plus faciles à poser sur des sols en pente, idéales pour faire exploser rochers ou gisements de minerais difficiles d’accès. Ensuite, je récupérais le Polaris me permettant de manier toutes sortes d’objets en métal par l’intermédiaire d’un aimant. Un pouvoir bien pratique pour résoudre toutes sortes d’énigmes, ou récupérer les coffres métalliques ensevelis ou perdus au plus profond des eaux. Bien que parfois utile, j’admets ne pas avoir beaucoup utilisé le Cinétis, octroyant l’étrange possibilité de figer certains objets dans le temps. Frapper une grosse boule de pierre isolée du temps me permettait ainsi de la projeter au loin comme si j’étais doué d’une force surhumaine, et en imprégner un faisceau laser avait pour effet de le désactiver temporairement. Enfin, je dus attendre d’être en mesure de m’habiller plus chaudement pour atteindre le sanctuaire renfermant le quatrième pouvoir, en raison des grands froids qui régnaient dans le secteur. Appelée Cryonis, cette fonction créait des blocs de glaces sur l’eau, servant le plus souvent de plateformes, mais étant aussi capables de soulever des portails fermés dans des régions humides ou de rendre accessibles des coffres de bois flottant à la surface des flots. Cette faculté compensa par ailleurs certaines de mes carences en natation, notamment mes faibles capacités à nager sous l’eau. A noter que chacun de ces pouvoirs nécessitaient un certain temps de recharge, avant que je puisse les utiliser à nouveau. Plus tard, j’ai même rencontré une scientifique quelque peu excentrique nommée Pru’ha, qui me permit d’augmenter les performances de certaines de ces aptitudes, et me donna même la possibilité de prendre ce que les Sheikas appellent des photos. Grâce à cette étonnante fonction, je pouvais capturer des images de tout ce que je voulais, afin, par exemple, de compléter l’encyclopédie intégrée dans la tablette, ou plus simplement de montrer à des personnes qui ne pouvaient pas se déplacer des choses qu’ils rêvaient un jour de voir. Mais la plus grande étrangeté que renfermait cette tablette était sans doute le fait de pouvoir y scanner de non moins bizarres statuettes appelées Amiibos, faisant alors tomber du ciel divers objets, mais surtout un coffre de métal susceptible de renfermer un valeureux trésor ancestral. Certains disaient qu’une de ces statuettes aurait pu me donner la chance retrouver ma fidèle jument Epona, disparue après l’apparition du fléau Ganon. Mais cette opportunité me fut hélas enlevée par la popularité grandissante de cette effigie, la rendant aujourd’hui plus rare et plus coûteuse que la découverte d’un bouclier Hylien. Hyrule, un monde fascinantAprès avoir accompli toutes les tâches que m’avait demandées mon guide d’infortune, je pus enfin apprendre une partie de la vérité. Le vieil homme, qui était en réalité le spectre du Roi d’Hyrule, me révéla que la Princesse Zelda, nos anciens amis et moi-même, avions échoué dans notre tentative d’arrêter Ganon. Mais mon long sommeil qui avait préservé ma vie me donnait une seconde chance de réussir. Le roi défunt me remit sa paravoile en guise de cadeau d’adieu, voile qui, une fois déployée, me permettait de planer dans les airs jusqu’à ce que mon endurance s’épuise. C’est donc grâce à elle que je pus m’échapper du Plateau du Prélude, me dirigeant vers l’inconnu d’un monde où je ne tarderais pas à m’égarer, et dont j’allais découvrir la générosité sans pareille, mais aussi ses règles parfois impitoyables et ses plus noirs fus rapidement émerveillé, en posant pied à terre, par le paysage et l’ambiance paisible qui s’offrait à moi. Au loin, quelques chevaux se promenaient, s’arrêtant parfois pour se sustenter de quelques touffes de l’herbe verdoyante visible à perte de vue. Mais alors que je courais vers eux dans l’espoir de mieux les contempler, un détail attira mon attention. Je commençais à avoir l’impression que mes yeux n’étaient pas encore bien acclimatés à l’univers qui m’entourait. La végétation, comme les arbres et les buissons, revêtait un aspect artificiel et parfois même polygonal altérant quelque peu leur beauté. Plus étrange, je sentais souvent mon champ de vision comme obstrué. Il m’arrivait souvent de voir des fleurs apparaître sur le sol comme par magie au fur et à mesure que j’avançais, et nombre de choses m’étaient invisibles avant que j’en sois suffisamment proche. Une désagréable sensation dont je me suis vite accommodé, mais que j’ai l’impression de toujours ressentir, même aujourd’ tout cela n’était rien en comparaison de la majesté de ce monde. En dépit de la lourde responsabilité qui reposait sur mes épaules, j’admets avoir été totalement émerveillé par les nombreux panoramas dont cette aventure m’a permis de profiter. Des hautes montagnes enneigées de la chaîne d’Hébra, aux chaleureuses coulées de lave jaillissant du volcan d’Ordinn, en passant par les arides étendues de sables du désert Gerudo, les différentes régions d’Hyrule m’impressionnent encore toutes de par leur personnalité marquée et leur variété. Au bout d’un moment, j’étais presque capable de me passer de carte pour me repérer dans certaines d’entre elles, ce qui n’est pas censé être évident dans un monde d’une telle taille. En tout cas, plus j’avançais, plus ce que je voyais me confortais dans le fait que ce royaume méritait d’être sauvé. Et ma rencontre avec les habitants du village de Cocorico, me rassurant sur la présence de vie sur ces terres, allait me le confirmer. Mais l’heure était venue d’aller faire la connaissance d’Impa, la femme qui allait m’indiquer la marche à suivre pour affronter retrouver soi-même pour vaincre le malLa sage du village de Cocorico allait donc me révéler qu’il me fallait, d’une part, retrouver tous mes souvenirs de ce qui s’était passé il y a cent ans. D’autre part, que je devais reprendre le contrôle des quatre Créatures Divines corrompues par Ganon. Chacune était à l’origine contrôlée par les quatre grands prodiges d’Hyrule, chacun issus de peuples différents. Il me fallait donc entrer dans chaque Créature, afin d’en libérer les esprits de mes quatre anciens compagnons. La visite de ces créatures m’a fait beaucoup penser à ces fameux donjons que les anciens héros avaient pu visiter par le passé. Je devais en comprendre tous les mécanismes pour parvenir à avancer et en résoudre les énigmes qu’elles renfermaient. Je pouvais même, après en avoir récupéré la carte, changer la disposition des lieux, notamment pour accéder à de nouvelles salles. En revanche, contrairement à ces fameux donjons du passé qui semblaient regorger d’adversaires, les Créatures Divines n’étaient guère protégées. Tout juste y avait-il quelques gardiens miniatures éliminables avec une ou deux flèches de bois, ou de la matière pourpre, cette substance maudite sécrétée par Ganon, générant parfois des immondices pouvant libérer des têtes de squelettes, ou des globes oculaires protégeant des surplus de matière pourpre qui disparaissaient à leur trépas. En vérité, la seule vraie menace sérieuse de ces donjons » était les Ombres de Ganon, de terrifiantes créatures souvent plus fortes que la plupart des créatures résidant à Hyrule, qu’il me fallut vaincre pour libérer chaque Créatures Divines. Cela dit, si l’une d’entre elle sut se montrer particulièrement coriace, aucune d’entre elles ne m’a laissé un souvenir impérissable, les stratégies de combat à adopter étant plutôt basiques. En y repensant, je ne garde toutefois pas un souvenir si désagréable de la visite de ces grands temples amovibles, ne serait-ce que pour l’inventivité de leurs mécanismes. Mais le peu de temps que j’y ai passé et les nombreuses similitudes visuelles de leurs intérieurs me les font déjà un peu idée était donc de me faire repartir sur les traces de mon passé, à la recherche de lieux clefs pouvant m’aider à me remémorer les évènements que j’avais oubliés. C’est pour cette raison que je me suis rendu dans un autre village du côté des Monts Géminés baptisé Elimith, dans le but de rencontrer la fameuse Pru’ha, qui pouvait télécharger sur ma tablette des photos destinées à m’aider à trouver les dits lieux, par l’intermédiaire d’une mise à jour. C’est un peu étrange mais, quand j’en parle de cette manière, j’ai un peu l’impression d’appartenir à un autre monde. Quoiqu’il en soit, cette plongée dans l’histoire d’Hyrule aura eu l’effet positif de m’inciter à explorer ce monde plus en détails, en plus de me permettre de digérer les choses à mon propre rythme. Ces souvenirs, bien que parfois courts, et pour certains, peu significatifs, me semblaient suffisamment instructifs, et surtout, réels pour que mon attachement envers mes ex compagnons d’armes renaisse progressivement. En contrepartie, la solitude tenace qui accompagnait mon voyage dans le présent me faisait parfois regretter que tous ces évènements appartiennent au passé. Même si j’en comprends les raisons, je me désole aujourd’hui de ne pas avoir pu partager plus de moments avec la Princesse Zelda au cours de mon périple. Son rôle dans toute cette histoire lui aurait pourtant donné le droit de prendre une part plus active dans les évènements ayant conduit à la chute définitive du Fléau. Il est vrai que j’ai rencontré beaucoup de personnes intéressantes sur la route qui me menait à Ganon, mais il subsiste tout de même en moi cette impression que seule la finalité de ma quête a été en mesure de me faire connaître une intensité équivalente à ce que j’avais dû vivre par le être honnête, il m’est déjà arrivé de me demander ce qui se serait passé si j’avais décidé d’ignorer tous les précieux conseils que l’on m’avait prodigués, et si je m’étais simplement contenté de prendre d’assaut le Château d’Hyrule pour affronter Ganon, juste après avoir quitté le Plateau du Prélude. J’ai même tenté une première visite assez rapidement, par simple curiosité. La tâche ne me sembla pas impossible, compte-tenu du nombre généreux de ressources en tout genre trouvables un peu partout, mais les multiples rayons lasers des gardiens et sentinelles protégeant les lieux, et capables de m’annihiler en un seul tir, achevèrent de me convaincre que le jeu n’en valait pas la chandelle. D’autant plus que j’allais plus tard découvrir, cette fois-ci un peu par hasard, qu’une troisième quête à accomplir allait considérablement me faciliter la vie récupérer l’Epée de Légende. Mais pouvoir la manier allait me demander d’augmenter mon énergie vitale, que les Sheikahs aimaient à symboliser par des cœurs. Pour cela, il me fallait donc partir à la recherche d’autres sanctuaires de l'improvisation et de la redondanceDisséminés à travers le monde, ces sanctuaires, au nombre de 120, étaient en réalité des épreuves imaginées par les Sheikahs pour préparer le Héros de Légende au lourd fardeau qui l’attendait. Concrètement, il s’agissait de mini donjons coupés du reste du monde, dans lesquels il me fallait résoudre différentes énigmes ou abattre de petits gardiens. Les épreuves étaient de différentes sortes, me demandant le plus souvent d’utiliser les pouvoirs récupérés sur le Plateau du Prélude pour m’en sortir. Mais la chose amusante était qu’il m’était parfois possible de contourner certaines je me souviens de ce sanctuaire me demandant de diriger une boule Sheikah à travers un labyrinthe en utilisant une technologie appelée la gyroscopie. Après plusieurs essais infructueux, je me frustrais devant la difficulté à contrôler cet étrange système. Puis me vint l’idée de retourner complètement le labyrinthe, ce dernier laissant place à une surface parfaitement plane, où il m’était évidemment bien plus facile de diriger la boule où je le souhaitais. Parfois, il arrivait aussi qu’une épreuve se situe à l’extérieur d’un sanctuaire, ce dernier ne devenant accessible qu’après l’exécution d’une tâche précise, comme se placer sur une stèle Sheikah à un moment clef, ou prendre un Korogu en filature. Ces situations pouvait d’ailleurs arriver sans crier gare, comme lors de mon arrivée sur cette île semblant déserte que je partais innocemment explorer, pour me retrouver soudainement face à une épreuve assez fine dont je tairai ici la teneur afin de ne pas gâcher la surprise aux éventuels futurs héros qui souhaiteraient, un jour, la début, la visite de ces petits temples m’enthousiasmait. Mais progressivement, plusieurs choses commencèrent à me chiffonner. En premier lieu, si je comprends aisément pourquoi les Sheikahs ont jugé utile de tester mes compétences, j’ai plus de mal à saisir l’intérêt d’une telle quantité d’épreuves, beaucoup étant assez similaires, notamment celles de force, devant représenter pas loin du quart du nombre total de sanctuaires, en plus de ne constituer qu’une simple formalité une fois la technique assimilée. Je me demande aussi pourquoi certains pouvoirs comme le Cryonis ont été aussi peu mis à contribution… Sans doute parce qu’ils savaient que ceux-ci ne me serviraient à rien lorsque le moment d’affronter Ganon serait m’est également arrivé de me demander comment les Sheikahs avaient pu mettre en place certaines épreuves. Je me souviens notamment de ce sanctuaire, quelque part dans le désert Gerudo, où le panneau d’accès était bloqué par une jeune Gerudo assoiffée, réclamant un verre du cocktail maison du bar de la Cité Gerudo. Après avoir amené à bout de bras un grand bloc de glace à la tenancière de ce même bar pour qu’elle puisse préparer la fameuse boisson, je retournais voir la jeune Gerudo pour lui annoncer que son verre l’attendait à la cité. Cette dernière s’éclipsa tel un morse des sables, me laissant ainsi entrer dans le sanctuaire dans lequel j’appris que j’avais surmonté l’épreuve. J’ignore si la femme Gerudo était dans le coup, ou si les Sheikahs connaissaient l’avenir quand ils ont imaginé cela, mais j’avais tout de même l’impression que quelque chose n’allait pas dans toute cette cela pour dire que sur la centaine de sanctuaires que j’ai résolus, les derniers ont surtout trouvés leur intérêt dans les récompenses qu’elles m’apportaient les Emblèmes du Triomphe. Car c’est grâce à elles que je pouvais, en allant prier devant une statue de la Déesse, augmenter mon énergie vitale ou mon endurance. C’est ainsi que je pus rassembler la résistance nécessaire dans le but de prouver que j’étais le digne héritier de l’Epée de Légende. Mais pour mener à bien ma mission, mes préparatifs ne pouvaient s’arrêter à et KorogusJe décidais donc pour cela d’explorer plus en détail le Royaume, notamment en m’intéressant de plus près à ses différents habitants. Qu’ils soient Hyliens, Sheikahs, Gorons, Gerudos, Piafs, Zoras ou même Korogus, nombreux étaient les habitants des villages ou voyageurs à avoir besoin d’un service ou un autre. Certaines tâches pouvaient paraître ingrates comme la cueillette de 55 champignons tempo pour un vieil homme capricieux résidant dans un relais à proximité du désert Gerudo. Mais d’autres ont su me toucher, comme ma contribution à la construction du village d’Euzero avec mon ami Grosaillieh. Quoi qu’il en soit, je me satisfaisais largement des sourires qui s’affichaient sur le visage des gens à qui je rendais service, même si elles s’agrémentaient systématiquement de récompenses plus ou moins généreuses, comme l’obtention d’un cheval unique ou, plus simplement, quelques toutes celles que j’ai rencontrées, les Korogus restent probablement les créatures les plus singulières de tout Hyrule. Originaires des Bois Perdus, une grande partie d’entre eux s’étaient dispersés dans tout le royaume, me laissant le loisir de les retrouver. Un travail besogneux qui pouvait vite devenir écœurant si l’on s’y consacrait pleinement, surtout en sachant que les Korogus disparus était au nombre de 900 ! Fort heureusement, deux choses me poussèrent à faire quelques efforts. D’abord ma rencontre avec le Korogu géant Noïa, qui m’expliqua qu’il pouvait agrandir mes sacoches d’armes, arcs et boucliers, si je lui rapportais les noix que chaque Korogu me donnerait si j’en retrouvais. En plus de cela, le nombre de Korogus perdus était tel qu’il était fréquent que je tombe dessus par hasard, au détour d’un chemin, ou au sommet d’une colline. Pour les dénicher, il me fallait toutefois me livrer, là aussi, à certaines petites épreuves comme tirer à coup de flèches sur quelques cibles mouvantes, ou déposer une offrande dans un bac vide devant une statue pour que la petite créature daigne apparaître. L’urgence de la situation m’obligea à renoncer à tous les retrouver, mais j’estimais nécessaire d’en rechercher suffisamment afin de me constituer un armement conséquent, les terres d’Hyrule étant particulièrement armes de pacotilleEn Hyrule, l’une des premières choses à assimiler avant de foncer tête baissée sur le premier bokoblin ou le premier lézalfos venu, est que les matériaux qui composent les armes sont fragiles. Parfois très fragiles. A titre d’exemple, les armes faites de bois tiennent rarement plus de quelques combats contre des monstres basiques, et je m’étonnerai toujours de voir certains arcs se désintégrer dans mes mains après n’avoir tiré qu’une petite dizaine de flèches. J’ai bien fini par trouver çà et là quelques bonnes armes, dont certaines renforcées, capables de tenir un certain temps, mais je dois bien avouer que cette excessive précarité était parfois éreintante. Un détail d’autant plus gênant quand une arme cassait lors d’un affrontement contre un Lynel, m’obligeant à perdre le rythme du combat afin de chercher une nouvelle arme adaptée à ce terrible adversaire. Au moins, je ne courais pas trop le danger de tomber à court, dans la mesure où il m’était possible de récupérer l’équipement de tout ennemi anéanti, voire de le leur voler en parvenant à les désarmer. Cela dit, j’ai tout de même préféré éviter de livrer bataille à de résistants ennemis trop tôt, sous peine de voir toutes mes armes casser avant d’avoir pu leur porter le coup de grâce. Il m’arrivait donc de temps en temps de privilégier les bombes, peu puissantes, mais bien pratiques pour éliminer les groupes de monstres peu étrange que cela puisse paraître, même l’Epée de Légende avait ses limitations. D’une puissance de base modérée, ses attaques et sa durabilité doublaient face aux gardiens géants ou à l’approche du château d’Hyrule. Mais une utilisation prolongée amenuisait hélas son pouvoir, la rendant temporairement inutilisable une fois celui-ci épuisé. Une petite lueur d’espoir renaquit succinctement lors de mes rencontres avec les rares forgerons du royaume. Mais cette lueur disparût instantanément lorsque j’appris qu’ils n’acceptaient de réparer que les armes uniques des prodiges de jadis, moyennant un prix bien trop élevé et des ressources bien trop rares pour que l’investissement en vaille la cette désagréable contrainte ne me découragea pas pour autant à faire face aux nombreux monstres qu’Hyrule mettait sur ma route. Au début, j’admets que l’apprentissage fut un peu rude. J’avais peu d’énergie vitale ce qui me rendait facilement vulnérable aux attaques ennemies, surtout en ne portant que des guenilles pour toute protection. Pour m’en sortir, il me fallut apprendre quelques techniques qui pouvaient me sauver la vie, comme la garde ou l’esquive parfaite qui consistaient à repousser ou éviter l’attaque d’un monstre au bon moment, me conférant l’avantage de pouvoir enchainer derechef une série de contre-attaques. Ces mouvements ne furent pas faciles à assimiler, me sentant parfois gêné par une inexplicable sensation de rigidité qui m’empêchait parfois de me mouvoir avec autant d’aisance que je l’aurais voulu. Mais je m’accrochais tout de même, sachant que leur maîtrise me faciliterait considérablement la survivre face aux monstresHeureusement, même sans cela, je compris très vite que la plupart des créatures hostiles que je rencontrais ne seraient rapidement plus une grande menace, tant les moyens de leur résister étaient nombreux. La première chose qui me sauva la vie était les Fontaines de Grande Fée. Historiquement, les Grandes Fées avaient l’habitude de soigner les blessures des héros d’antan. Mais les affectueuses dames géantes que j’ai rencontrées me proposèrent plutôt de renforcer les capacités défensives des tenues que je portais. La seule contrepartie résidait dans le fait d’apporter les matériaux nécessaires à leur évolution, le plus souvent des matériaux de monstres. Lorsque je réalisai qu’une armure de soldat montée de trois niveaux, doublée d’une petite protection archéonique, me permettait d’encaisser plusieurs tirs de lasers de Gardiens sans mourir, je pris toute la mesure de l’aide que m’apportaient ces exubérantes déesses. D’ailleurs, leur rendre visite me donnait aussi l’opportunité de récupérer des petites fées. S’il m’était impossible d’en stocker plus de cinq à la fois, ces dernières me sauvaient de la mort si je prenais un coup qui aurait normalement dû m’être fatal. Autant dire qu’elles auront su préserver ma vie plus d’une commence à sentir une petite faim me tenailler. Sans doute est-ce par ce que je suis en train de penser aux nombreux plats que j’ai cuisinés qui, cumulés à l’aide des fées, me rendaient potentiellement invincible dans la plupart des situations. Chaque denrée trouvable en Hyrule était douée de vertus curatrices ou de propriétés avantageuses. Je pouvais évidemment les consommer telles quelles, mais aussi les utiliser dans une préparation afin d’en augmenter les effets. Du simple chutney de fruits au durian max augmentant pour un temps mon énergie vitale maximale, à la brochette de champis volts me rendant résistant à l’électricité, il m’était possible de garder avec moi plusieurs dizaines de plats, que je pouvais déguster à loisir à n’importe quel moment, y compris en pleine joute contre n’importe quel adversaire. De quoi plus facilement minimiser la gravité des blessures infligées par les monstres incapables de m’anéantir en un seul toute façon, le manque de variété du bestiaire d’Hyrule me facilita considérablement la tâche. A force de combattre des cohortes de lézalfos, de moblins ou de chuchus, j’élaborais nombre de stratégies efficaces qui me firent gagner un temps précieux. Les flèches élémentaires, notamment de glace ou de foudre, immobilisaient les ennemis de taille raisonnables quand elles ne les tuaient pas sur le coup. Les pouvoirs des quatre prodiges, quant à eux, telle la colère d’Urbosa, allaient me permettre d’abréger les affrontements contre les créatures les plus dangereuses, y compris les Lynels, très puissants et résistants, mais aussi, prévisibles. Je n’ai de toute façon pas jugé utile d’en affronter énormément, les combats contre ces centaures à tête de lion pouvant s’éterniser plus que de raison si les choses se passaient mal. J’ajouterai que les récompenses qu’ils me laissaient en cas de victoire n’étaient le plus souvent que des armes luxueuses à la durabilité discutable, et j’estimais pouvoir m’en passer. D’autre part, il me fallait aussi faire attention à la faune locale, certains animaux pouvant se montrer agressifs. Je devais par exemple faire attention à ne pas prendre un violent coup de sabot quand je m’approchais discrètement d’un cheval dans l’espoir de le dompter, ou trouver un moyen de rapidement faire fuir les meutes de loups qui m’attaquaient dès que je rentrais dans leur champ de une mission parfois difficileEn fin de compte, le domaine dans lequel mes multiples agresseurs m’auront le plus gêné fut sans aucun doute l’exploration. La nuit particulièrement, durant laquelle nombre de monstres squelettiques ou de chauves-souris apparaissaient à intervalles réguliers, me dérangeant pendant la résolution d’une énigme, ou complexifiant inutilement un combat déjà tendu. Le phénomène de la lune de sang initié par Ganon, ramenant à la vie la totalité des monstres que j’avais déjà occis, ne m’aida pas non plus. En effet, son apparition était susceptible d’intervenir en plein affrontement contre un groupe d’adversaires, ressuscitant au passage tous ceux que je venais de vaincre. Mais cette malédiction lunaire avait aussi ses avantages, comme celui de ne pas limiter mes opportunités de récupérer des matériaux de monstres. Voyager de jour était donc souvent plus confortable même si les membres du clan Yiga, une faction ayant décidé de soutenir Ganon, venaient eux aussi souvent jouer les trouble-fête sans je pense tout de même qu’en dehors de ces nombreux conflits parasites, le plus grand ennemi de mon périple fut le climat capricieux qui régnait dans ce royaume. Si les périodes de beau temps étaient un véritable plaisir pour profiter des paysages ou scruter les horizons à la recherche de lieux secrets encore inexplorés, je dus rapidement composer avec les drastiques changements météorologiques qui m’obligeaient de temps à autres à revoir mes objectifs. Dans certains cas, je trouvais des solutions comme des tenues ou des remèdes me permettant de supporter les grandes chaleurs du désert Gerudo, ou un masque capable de me protéger de la foudre susceptible de me tomber dessus par temps d’orage, à fortiori une fois équipé d’un armement métallique. Mais la pluie, pour ne citer qu’elle, s’apparentait à un cauchemar ayant raison d’une grande partie de mes possibilités, sans que je ne puisse y faire grand-chose. Altérant la visibilité, elle rendait surtout toute escalade quasiment impraticable, les parois devenant alors toutes bien trop glissantes. Certains héros d’antan avaient à leur disposition un instrument de musique qui leur octroyait la chance de pouvoir influer sur le climat. Mais malgré mes recherches, je fus bien incapable de mettre la main sur un tel objet, ni même sur une éventuelle tenue pouvant m’empêcher de glisser. Mon seul salut dans une telle situation était donc d’espérer trouver un abri aux alentours pour pouvoir allumer un feu de camp, et attendre que la pluie cesse. Dans le cas contraire, je n’avais plus qu’à remettre mon ascension à plus tard, étant donné qu’il n’était pas envisageable d’essayer d’allumer un feu sous une averse, ou de rester à patienter de longues minutes sans rien faire, en espérant que cette dernière s’arrête au plus vite. A ce sujet, je dois tout de même une fière chandelle à mon ami Revali, dont la rage qu’il me confia pour me permettre de me propulser dans les airs fut salvatrice lors des montées les moins grande aventure pas toujours facile à vivreCela dit, quand l’agacement et l’envie de tout abandonner s’emparaient de moi, je ne perdais jamais de vue que de nouvelles surprises m’attendaient souvent quelque part. Et quel grand chemin n’était pas semé d’un minimum d’embûches ? Il fallait avant tout éviter de se perdre en route, chose pourtant facile dans un environnement aussi spacieux. Combien de fois me suis-je retrouvé à marcher dans certaines contrées totalement désertes sans savoir où j’allais, pour ne finalement rien y trouver d’autre que le plaisir d’avoir un jour foulé le sol qui se trouvait sous mes pieds ?C’est pour cela que, le plus souvent livré à moi-même, il m’était nécessaire de m’organiser et de me fixer des objectifs clairs avant de partir à l’aventure. M’engager n’importe où au petit bonheur la chance ne pouvait générer en moi que frustration et sentiment de vide si je m’engageais dans la mauvaise direction. Essayer de trouver quelques sanctuaires, abattre un hinox ou deux afin de récupérer les viscères nécessaires à l’augmentation d’une armure, ou encore finir quelques une des missions que j’avais laissées en suspens, étaient autant d’objectifs possibles qui me permettaient de ne pas trop me disperser. Et dans les cas les plus extrêmes, me raccrocher à ma quête principale restait la meilleure option, me diriger vers une Créature Divine ou chercher l’un de mes souvenirs perdus étant le meilleur moyen de rencontrer de nouvelles personnes, ou de découvrir un nouveau point d’intérêt. En tout cas, si je suis aujourd’hui content d’en avoir fini avec cette aventure, qui m’a demandé un temps et un investissement considérable pour être menée à bien, je suis encore plus satisfait d’avoir pu en profiter comme je l’ai fait. Je pourrais parler de tant d’autres choses, mais cela ne me semble pas approprié vis à vis des futurs héros qui auront peut-être un jour la chance de vivre cette aventure. Et quelle aventure ce fut ! Il est vrai que je me suis parfois un peu irrité de certaines choses, mais rien ne fut assez pénible pour m’ôter le sentiment que j’avais vécu une quête grandiose et unique, qu’il me tenait à cœur de mener à terme. Je ne prétends pas pour autant qu’elle puisse être aussi marquante que celles de certains héros d’antan, comme celle du masque de Majora, ou celle du héros de l’île Cocolint. Mais je crois avoir vécu un voyage suffisamment extraordinaire, et surtout, unique, pour qu’il me tienne à cœur d’en partager ne serait-ce qu’une petite partie, avec ses joies et ses regrets, afin que tous ceux qui souhaiteront un jour le vivre sachent l’apprécier au moins autant que je l’ai fait. Accueil » 10 sanctuaires les plus frustrants de The Legend of Zelda Breath of the Wild Hyrule est plus grand que jamais dans Breath of the Wild, et au cours de votre aventure, vous rencontrerez sans aucun doute d’innombrables sanctuaires cachés sur toute la carte. Beaucoup de ces sanctuaires abritent des énigmes intelligentes, des robots gardiens à combattre ou même des quêtes amusantes à entreprendre juste pour trouver les sanctuaires. Cependant, avec presque autant de sanctuaires qu’il y a de Pokémon originaux, il y en aura moins que des stellaires. Voici les 10 sanctuaires les plus frustrants de Breath of the Wild. Dans le vortex – Sanctuaire Ritaag Zumo, Akkala Les quêtes d’escorte sont toujours une poignée, et la quête du sanctuaire Into the Vortex fait monter les choses d’un cran en faisant de votre escorte une boule de roche stupide que vous devez transporter juste pour ouvrir l’endroit. Mais attendez, ça va mieux vous pouvez porter cet orbe idiot autour d’une étendue sinueuse de rivage qui est remplie à ras bord de Lizalfos, Moblins, Octoroks et même Bokoblins à cheval parce que vous n’avez pas assez à gérer, n’est-ce pas ? Tu sais quoi – oublie ça, je lance cette balle dans l’océan. Connexions métalliques – Sanctuaire Wahgo Katta, Central Hyrule Je suis peut-être fou, mais le sanctuaire Wahgo Katta est plus ennuyeux qu’il n’y paraît. Vous avez un moine hors de portée, il vous suffit donc de déplacer des boîtes métalliques et des plates-formes pour construire un pont. Simple, non ? Il s’avère que la physique peut être un vrai crétin. Amusez-vous à regarder vos boîtes soigneusement empilées se renverser comme un fragile château de cartes parce que vous avez secoué la Rune Magnesis trop fort dans une direction. Oh, et ne pariez pas sur cette dernière plate-forme métallique qui vous rendra service en la guidant d’être inutile à s’écraser sur votre tête et vous renverser au fond. Greedy Hill – Sanctuaire de Kayra Mah, Eldin Ok, j’avais tort, il y a pire à escorter qu’une balle – essayez un morceau de viande rocheuse. Au pied d’une grande colline. Gardé par des hordes de Moblins. Qui tirent des flèches de feu. Il y a aussi des rochers qui tombent et tout est en feu. POURQUOI? Aucun morceau de viande ne vaut cela, et il est fait de roche ! Pourquoi ce stupide Goron ne peut-il pas aller le chercher lui-même ? Obtenez le connard sa viande de roche, et il ouvrira un chemin vers le sanctuaire de Kayra Mah. Vous penseriez que ce serait suffisant, n’est-ce pas? Vous avez fait vos preuves, hein ? Non, préparez-vous à gravir une autre pente à l’intérieur du sanctuaire pendant que d’autres rochers essaient de vous tomber dessus ! Appareil Katosa Aug – Sanctuaire Katosa Aug, Akkala Les moines qui ont construit tous ces sanctuaires fous voulaient vraiment que Link fasse ses preuves en tant que héros. Puissance, courage, sagesse — tout ce dont vous aurez besoin si vous voulez battre Ganon. Alors pourquoi est-ce que je joue au minigolf dans ce sanctuaire ? Link va-t-il affronter Ganon sur le green pour décider du sort d’Hyrule ? Peu importe le fait que les commandes de mouvement font d’essayer de frapper une balle en ligne droite la tâche la plus impossible au monde. Gardez juste l’orbe spirituel, Katosa Aug, ça n’en vaut même pas la peine. Appareil Myahm Agana – Sanctuaire Myahm Agana, Hateno Vraiment, plus de commandes de mouvement ? Je ne pourrai pas sauver Zelda en faisant basculer une balle dans un labyrinthe, mec. Si c’est le plan de Ganon, il a beaucoup trop de temps libre. Cela aurait pu être amusant s’il n’y avait pas la rampe à la fin où vous devez lancer la balle en l’air – ce qui se termine généralement par une secousse violente de la plate-forme sur le côté. Vous savez que vous avez créé un puzzle de sanctuaire frustrant lorsque tous ceux qui l’essayent finissent par retourner le labyrinthe. Ce champion ne respecte pas les règles ! Bénédiction de Rona Kachta – Sanctuaire de Rona Kachta, Grande forêt d’Hyrule Le sanctuaire Rona Kachta n’est pas nul – mais y arriver oui. Cette entrée trompeusement cool est tout droit sortie d’Indiana Jones et de la dernière croisade. Heureusement pour le Dr Jones, il n’a pas eu à faire face à une pièce remplie d’une douzaine de Gardiens qui pointaient tous des faisceaux laser directement sur sa tête. Cet endroit est carrément terrifiant à traverser, surtout si vous tombez dessus très tôt et que vous n’avez pas maîtrisé l’art génial de parer parfaitement – ou, vous savez – de vous enfuir très vite et de ne pas vous faire tuer d’un seul coup. L’héritage volé – Sanctuaire de Lakna Rokee, Dueling Peaks OK peut-être que ce n’est pas tant le sanctuaire que la nature frustrante des habitants de Kakariko. Depuis que vous arrivez à trouver Impa, vous pouvez apercevoir une petite boule de sanctuaire à côté d’elle. Vous finirez peut-être par tomber sur le piédestal du sanctuaire dans les collines, mais ils ne vous donneront pas le ballon ! Ils vous disent même le héros recevra la bénédiction de l’antiquité », mais apparemment cela ne signifie pas que vous pouvez le prendre – non, vous n’êtes qu’un héros légendaire ordinaire, pas le héros qui prend des artefacts sans permission. Ce qu’ils ne vous disent pas, c’est qu’une fois que vous faites assez de courses en ville, quelqu’un d’autre vous le vole ! C’est vrai, toute votre patience est récompensée par un autre imbécile prenant l’orbe et essayant de l’utiliser lui-même, vous forçant à suivre le gars tout le long des collines. Au moins, vous aurez un duel cool avec un ninja à la fin. Le pèlerinage perdu – Sanctuaire Daag Chokah, Grande forêt d’Hyrule J’espère que vous avez aimé suivre cet autre gars dans le village de Kakariko, parce que la quête du sanctuaire de pèlerinage perdu, wow. Ce… merveilleux, adorable et stupide vieux Korok vous fera hurler de frustration en le regardant errer sans but dans les bois perdus à la recherche d’un sanctuaire. Mais n’ose pas l’aider – même lorsqu’il appelle à l’aide – ou c’est le retour au début ! Ce petit gars a la capacité d’attention d’un poisson rouge. Il s’arrêtera quelques minutes à la fois, puis sprintera dans le brouillard et reviendra en arrière juste parce que – j’espère que vous n’essayiez pas de le suivre ! Après ce qui semble être une heure – il a enfin le sanctuaire en vue, ce qui bien sûr vous incite à sortir pour le féliciter, seulement pour que vous échouiez car il n’a pas encore atteint le sanctuaire. Yahaha ! – Je vais brûler cette forêt. Puissance tempérée – Sanctuaire Mirro Shaz, Grande forêt d’Hyrule Félicitations au sanctuaire Mirro Shaz, vous avez presque à vous seul ruiné la rune de stase pour moi. Golf aussi. Qu’en est-il de ces moines qui enfoncent des objets dans des trous ? Hyrule était-il à l’origine un terrain de golf géant ? Nous ne le saurons peut-être jamais, mais je sais que j’ai cassé environ 10 marteaux en essayant de frapper une balle assez fort pour la frapper à travers l’espace… et encore une fois pour obtenir un coffre au trésor parce que je ne sais pas quand arrêter. Étoiles fatales – Sanctuaire de Keo Ruug, Grande forêt d’Hyrule Le sanctuaire Keo Ruug remporte le prix du sanctuaire le plus déroutant jusqu’à ce que vous le découvriez et disiez à tout le monde que vous saviez toujours comment cela fonctionnait ». Ok, alors peut-être que vous l’avez compris rapidement – mais pour beaucoup de gens, voir un tas de formes étranges sur le mur et un tas de fentes pour balles partout rendait les choses assez frustrantes. C’est en fait une bonne sorte de frustration la confusion mène à l’expérimentation, en lançant des balles dans différentes fentes et en réalisant lentement que les formes sur le mur correspondent à quatre colonnes de fentes, et que les torches qui bordent le mur représentent en fait un nombre ! Maudit sois-tu de me faire réfléchir ! C’étaient des sanctuaires assez aggravants, mais avouons-le les orbes spirituels en valent vraiment la peine. Faites-nous savoir quels sanctuaires et quêtes de sanctuaires vous avez trouvé ennuyeux ou aimés !, Et assurez-vous d’utiliser notre IGN Wiki pour effacer tous les derniers. Brendan Graeber est un éditeur de guides chez IGN et n’était pas content de trouver plus de sanctuaires de puzzle de mouvement dans le DLC Champions’ Ballad. Suivez-le sur Twitter à Ragga_Fragga. Salut je suis Max ! Je partage toutes mes dernières trouvailles sur l’actualité du jeuxi vidéos, gaming, équipement et software sur ce site. We use cookies on our website to give you the most relevant experience by remembering your preferences and repeat visits. By clicking “Accept All”, you consent to the use of ALL the cookies. However, you may visit "Cookie Settings" to provide a controlled consent. Attendu depuis des années, il est enfin là. Disponible sur Wii U et Switch ce 3 mars, The Legend of Zelda Breath of the Wild est indéniablement un argument de vente pour cette dernière. Mais après tant d’attente, que vaut-il ? Va-t-il nous transporter au-delà de tout ce que l’on a déjà connu ? Avant toute chose, sachez que la majorité du test a été réalisé sur Switch. De plus, nous avons pris soin de n’aborder que très rapidement la partie scénaristique pour vous garantir aucun spoil. Bonne lecture ! The Legend of Zelda Breath of the Wild, un voyage émotionnelUne claque mémorableLe cheval, c’est trop génial !Tellement de choses à faire et à apprendre…Aux armes Link !La technique, seul bât qui blesse ? The Legend of Zelda Breath of the Wild, un voyage émotionnel Après avoir découvert tranquillement la Nintendo Switch, nous nous sommes lancés à corps perdu sur The Legend of Zelda Breath of the Wild, incontestablement le jeu de lancement le plus important et l’argument de vente du constructeur japonais pour sa nouvelle machine. Le soft est également disponible sur Wii U mais ne l’ayant que brièvement parcouru, nous reviendrons sur cette mouture un peu plus tard dans notre test pour vous expliquer notre ressenti sur celle-ci. Notre aventure démarre lorsque Link se réveille dans une grotte après une sieste de plus de 100 ans, une scène que l’on a déjà vu maintes fois depuis l’E3 2016 à travers les diverses bandes annonces. Une voix mystérieuse et féminine vous réveille avec un simple Réveille-toi… Ouvre les yeux ». Votre héros se lève donc, juste muni d’un pagne pour couvrir une partie de son corps et l’on se retrouve sans aucune information sur ce qui nous attend. Précisons au passage que ce nouvel opus intègre pour la première fois des voix françaises avec des doublures totalement traduites. Les sous-titres le sont aussi bien évidemment et l’on regrette juste l’absence de possibilité de switcher – sans mauvais jeu de mot – entre la VF et la VO. On avance ainsi dans le plus grand mystère avant de dénicher une fameuse tablette Sheikah qui sera un élément essentiel de notre aventure. Puis, après deux coups de pied sur des coffres, on s’habille d’un vieux pantalon et d’une vieille chemise et l’on sort de la grotte. Et là, c’est la découverte du monde qui nous attend, grand et vaste à souhait. Très rapidement, on a une sensation de liberté incroyable, couplée à un brin de nostalgie lorsque l’on remarque que c’est reparti pour une aventure aux côtés de Link. Cette épopée auprès de notre jeune aventurier est une véritable claque sensorielle. C’est une invitation au voyage émotionnel et à la nostalgie des anciens épisodes. Bien sûr, cela fait longtemps que l’on attendait ce nouvel opus et cela joue forcément beaucoup sur nos émotions mais les développeurs savent comment titiller nos sentiments. Une musique enivrante, une ouverture de coffre avec un certain son qui nous rappelle de mielleux souvenirs et un travelling arrière de la caméra lorsque l’on sort de la grotte suffisent pour nous émerveiller. Une claque mémorable Après être sorti de cette fameuse grotte, on se retrouve complètement perdu dans ce nouveau monde. Nous ne savons rien de la période dans laquelle nous sommes plongés et n’avons aucun élément concernant l’intrigue principale. Tout sera dévoilé au fur et à mesure que vous progresserez dans l’aventure. C’est d’ailleurs un élément important qu’il faut prendre en compte Zelda Breath of the Wild vous lâche complètement dans la nature. Bien évidemment, la trame scénaristique se dévoile petit à petit et vous apprendrez les mécaniques de gameplay à force de découvrir de nouvelles options mais il n’y a pas de véritable premier chapitre qui vous apprend tout sur tout. Non. L’histoire s’apprend au fur et à mesure que vous progressez. D’ailleurs, vous ne connaîtrez le contexte historique qu’une fois le premier plateau achevé. On évitera d’aborder l’aspect scénaristique pour échapper à tout éventuel spoiler et l’on préfère vous laisser le plaisir de la découverte. Cette progression bien dosée est clairement motivante. On a envie d’en savoir plus, de connaître le fin mot de l’histoire et il est difficile d’échapper au souhait d’en apprendre davantage sur le background du titre. C’est la même chose concernant l’apprentissage de nouvelles compétences et la trouvaille de nouveaux équipements. On reviendra bien évidemment sur ces points un peu plus tard, mais vous remarquerez bien assez vite qu’être bien préparé au combat est un atout de taille. Nous n’avons pas peur de le dire Il s’agit ici très probablement d’un des épisodes les plus durs de la franchise. Et pour cause, la difficulté nous a semblés bien plus élevée qu’auparavant. Attention néanmoins, il faut relativiser le contexte et n’oublions pas que la série est loin d’être l’une des licences les plus compliquées. Si certains opus proposaient un gameplay un peu plus dur à prendre en main ou des énigmes quelque peu plus retors que d’autres, The Legend of Zelda Breath of the Wild est quelque peu au dessus. Nous avons constaté que plusieurs éléments nous paraissaient moins faciles d’approche, notamment pour les néophytes de la franchise. Le fait que vous soyez lâchés en plein monde ouvert est bien évidemment l’une des principales raisons mais vous devrez parfois mourir et réessayer à plusieurs reprises pour parfois bien comprendre ce qu’il faut faire. A vous d’explorer les différents recoins pour faire la rencontre de certaines créatures dont on ne sait rien dessus. Si certains sont faciles à tuer, d’autres n’hésiteront pas à vous tuer en un coup. En bref, si l’on est loin d’un titre très complexe à la difficulté qui pourrait rebuter certains, cet épisode reste néanmoins l’un des opus les plus difficiles de toute la série. Cela plaira sans doute à bon nombre de joueurs qui voulaient un peu plus de défis. Le cheval, c’est trop génial ! Le premier plateau que l’on pourra parcourir sert plus ou moins de chapitre introductif au jeu. On aura l’occasion d’y découvrir quelques ennemis avec plusieurs environnements, comme une petite forêt, un paysage alpin et j’en passe. Celui-ci sert véritablement de mise en bouche et il est bon de noter que Nintendo a su très bien gérer sa communication puisque finalement, c’est majoritairement autour de ce secteur que toutes les présentations se sont faites. Ainsi, il restera encore beaucoup à découvrir, et c’est une véritable surprise. The Legend of Zelda Breath of the Wild intègre deux nouveaux éléments qu’il faudra surveiller assez fréquemment à travers des jauges. La première est la notion de température. Dépendamment de là où vous vous trouverez, Link peut avoir chaud ou froid, et en fonction de sa résistance, il est plus que probable que vous perdiez de la vie. Si par exemple, vous tombez dans une rivière en montagne, vous pouvez mourir instantanément. Parcourir les premiers pics neigeux vous fera perdre des cœurs à intervalle régulier et vous n’aurez que deux options pour contrer ce problème en début de partie Soit prévoir assez de nourriture pour survivre et se restaurer régulièrement, soit porter une torche pour vous réchauffer et donc, garder une température convenable. A contrario, le feu peut vous brûler et causer une altération d’état. Les camps ennemis ou l’utilisation d’un silex vous permet d’allumer une torche et vous pouvez ainsi vous en servir pour éclairer des endroits sombres ou vous garder au chaud. Mais c’est à utiliser intelligemment se mettre à courir, attaquer une cible ou se défendre éteint immédiatement la torche et vous devrez faire face au froid si vous êtes placés là où il ne faut pas. A vrai dire, ces mécaniques de chaleur ne sont pas étouffantes dans le jeu. Elles sont régulièrement mises en avant sans pour autant être trop accaparantes. Cela permet ainsi de rajouter quelques aléas dans les énigmes et de vous faire réfléchir avant de grimper les sommets enneigés. Mais cela en reste là. C’est ni plus ni moins ce que l’on pouvait attendre de ces quelques ajouts supplémentaires. La seconde jauge est la présence d’un capteur de bruit. Situé également en bas à droite de votre écran, cette indicateur vous permet de savoir le bruit que vous générez. En fonction de vos déplacements, vous risquez ainsi d’avertir les ennemis aux alentours. Si vous courez, Link fera beaucoup de bruit, tandis que s’il s’agenouille et avance lentement, vous avez une chance de surprendre vos adversaires. C’est encore une fois une composante supplémentaire qui n’est pas omniprésente mais qui permet de rajouter quelques mécaniques d’infiltration bienvenues. Arriver dans le dos de vos assaillants permettra parfois d’avoir un avantage certain. De plus, il serait futile de vous dire que d’abattre quelques adversaires avant de vous en prendre au chef/boss n’est pas à exclure pour la réussite de votre assaut. Cet aspect infiltration est bien construit et cela permet entre autre d’approcher des ennemis pour leur tirer une flèche à l’aide de votre arc pour en prendre l’ascendant. Tellement de choses à faire et à apprendre… S’il y a bien quelque chose que l’on ne peut pas reprocher à The Legend of Zelda Breath of the Wild, c’est bien évidemment son contenu gargantuesque. Outre sa durée de vie plus que convenable, on souligne bien sûr la foulitude de choses à faire. Monde ouvert oblige, vous aurez des tonnes de choses à faire et l’équipe de Eiji Aonuma a très bien compris comment le combler d’activités. Le seul point qui nous a quelque peu chagrinés au début de notre aventure, c’est le côté vaste et vide. Les premières heures passées sur le premier plateau et un peu plus loin donnent une sensation désertique, dépourvue de véritables éléments à parcourir. Parce que finalement, si l’on fait fi du côté nostalgique et découverte de ce tout nouveau monde, ces lieux inhabités mettent quelque peu du temps à être parcourus. On va ainsi de sanctuaire en sanctuaire, et l’on apprend quelque chose sur l’histoire. Puis, après avoir passé plusieurs longues minutes à simplement marcher, on arrive sur un nouveau spot de monstres. Et c’est à peu près tout. A vrai dire, cette sensation de vide n’est pas très prononcée et il faut bien lui trouver un semblant de défaut à ce Zelda, tant il reste incroyablement prenant. Très vite, on pourra apprivoiser un cheval, permettant de gambader dans les vastes landes du soft et ainsi aller plus vite. On aura également la possibilité d’utiliser un paravoile qui permettra à Link de planer dans les airs sur de longues distances, similaire au parachâle dans Skyward Sword. On le recevra notamment très tôt dans l’aventure après avoir bouclé les premiers sanctuaires. De plus, une fonctionnalité de voyage rapide est également disponible. Vous pourrez ainsi traverser la map grâce à votre tablette Sheikah en choisissant un sanctuaire déjà visité et vous téléportez facilement de bout en bout. Toujours en restant dans le domaine de l’exploration, Link pourra pour le coup escalader des falaises. Quasiment toutes les parois pourront être abordées et vous pouvez ainsi grimper les plus hauts sommets juste à l’aide de vos bras. Attention cependant, le tout est régi à votre endurance et il est impératif de bien doser votre force et d’estimer ce qu’il y a à monter au risque de lâcher prise et de dégoter un game over une fois à terre. La plupart des grandes montagnes disposent de petites plateformes intermédiaires et ce sera à vous de bien juger tout cela. On notera également la présence d’une météo dynamique qui varie assez régulièrement. Il n’est pas rare de passer à un grand soleil à une pluie orageux qui vous octroiera une bien plus mauvaise visibilité. L’utilisation du vent avec la paravoile est également quelque chose d’intelligent puisque vous pourrez aller plus vite en allant dans le sens de celui-ci. Un cycle jour/nuit est aussi de la partie avec les horaires indiquées à côté de vos autres jauges. Outre l’aspect visuel, certains monstres n’apparaissent que la nuit et il faudra parfois attendre, à côté d’un bon feu de camp, quelques heures durant pour arriver à la bonne heure de la journée. L’exploration a vraiment ce petit quelque chose d’intense sur The Legend of Zelda Breath of the Wild. La possibilité de grimper les montagnes ajoute une verticalité bienvenue et l’on peut ainsi contempler les environnements en haut d’une falaise. Qu’il est jouissif d’avoir cette sensation de liberté totale et de pouvoir s’arrêter quelques temps en hauteur pour profiter du paysage. Il n’est pas rare que l’on fasse une pause dans nos quêtes pour s’exprimer sur la beauté des paysages avant de faire une halte dans un poste de gobelin avant de ramasser champignons, pommes et autres glands dans les forêts. L’exploration a presque de petit quelque chose de gratifiant puisque l’on retrouvera toujours quelque chose à ramasser ou à contempler. Le cachet artistique est une nouvelle fois parfaitement maîtrisé et c’est une véritable claque visuelle. Aux armes Link ! Bien sûr, au tournant de votre exploration, vous aurez de nombreuses opportunités de vous battre. Riche d’un bestiaire assez conséquent, le soft dispose de mécaniques de gameplay bien rodées. On ressent ici les bases d’un jeu de son genre et elles sont parfaitement maîtrisées. Il vous suffira de marteler votre touche d’action pour asséner un coup à votre adversaire mais les subtilités ne s’arrêtent pas là et c’est là que la pléthore d’armes rentre en jeu. The Legend of Zelda Breath of the Wild propose un arsenal assez conséquent avec en premier lieu, la possibilité d’utiliser un arc. C’est même très clairement ce que l’on a le plus apprécié à la rédaction la possibilité de décocher une flèche et de la planter entre les deux yeux de notre adversaire. Il vous suffit de viser et de tirer. Vous aurez bien sûr un bonus si vous touchez l’ennemi en pleine tête et cela pourrait vous garantir une élimination en un seul coup. Des flèches de plusieurs types seront à collecter et permettront d’obtenir une altération ou un bonus supplémentaire, comme des flèches de feu ou de glace. Les différences entre les armes ne se limitent pas qu’à l’aspect cosmétique. Bien sûr, elles disposent toutes d’un critère de puissance basée sur sa puissance indiquée par un icône et un chiffre, mais elles ont également des particularités lorsque vous les utilisez. Par exemple, certaines armes plus légères vous permettront d’attaquer de manière plus rapide tandis que de grosses massues taperont plus fort mais moins vite. De plus, pour chaque type d’armes, les animations sont différentes et ne correspondront pas forcément à vos attentes. Un javelot pourra taper plusieurs fois d’affilée en un laps de temps très réduit mais n’occasionneront pas énormément de dégâts. Votre armement se compose aussi d’un bouclier. Très important au combat, ce dernier vous permettra de bloquer ou de contenir une attaque et sauver une partie de votre vie. Les possibilités sont donc assez nombreuses et l’on se retrouve avec beaucoup d’armes en main. Que ce soit l’épée de chevalier, un râteau trouvé dans une grange ou une branche d’arbre trouvé par terre en dépit d’avoir autre chose, l’arsenal est vraiment conséquent. Certaines armes seront également plus propices à certaines actions que d’autres. La hache de bûcheron par exemple, pourra servir à couper un arbre en deux coups alors que les autres mettront plus de temps. Un bout de bois permettra d’allumer une torche, chose que vous aurez du mal à faire avec une épée je pense… Dernier élément à savoir sur votre équipement, c’est que celui-ci ne dure pas éternellement. Après avoir tapé plusieurs fois avec votre arme, celle-ci se brise et elle est donc perdue à tout jamais. Un message d’alerte vous fera signe quelques temps après sa fragilisation et vous devrez être prêt à changer d’armes si vous êtes en combat. Une attaque un peu particulière est intéressante dans ce cas là il est possible de balancer ce que vous avez en main, un peu comme un lancer de javelot. Selon votre précision, votre distance et la nature de votre arme, cela peut causer d’énormes dégâts où la contrepartie est la destruction immédiate de cette dernière. Link disposera également de certains pouvoirs, appelés modules. On les découvre en terminant les tout premiers sanctuaires, bien que le dernier module ne s’obtiendra que plus tard dans l’aventure. Ces pouvoirs, octroyés par la tablette Sheikah encore une fois, permettront d’apprendre des compétences supplémentaires. L’une vous permettra de créer de la glace à partir d’eau tandis qu’un autre peut arrêter le processus de certains mécanismes en stoppant le temps quelques instants. Hormis la bombe, la plupart de ces pouvoirs ne servent finalement qu’à résoudre les énigmes auxquelles vous serez confrontés. Je vais peut-être insisté sur ce point là, mais ce Zelda Breath of the Wild est bien équilibré. Que ce soit pour la difficulté croissante, la narration progressive, la température et les nouveautés, les modules et bien d’autres aspects du titre, tout est parfaitement maîtrisé. On profite des quelques subtilités introduites sans pour autant en avoir trop. Tout est bien dosé et finalement, même cette sensation de vide sous-entendu en début de test est bien rôdée. Les vastes landes sont suffisamment grandes pour donner une impression d’immensité et juste avant que le joueur se dise Ah, ça paraît presque vide », et bien l’on y découvre quelque chose de vraiment palpitant. La technique, seul bât qui blesse ? Concernant sur la version Wii U Cette dernière est clairement très en deçà de ce que l’on pouvait attendre. Après l’avoir testée quelques heures, on ressent qu’elle est quelque peu en retard sur la mouture Switch. Aliasing fort présent, chute de framerate dans les zones peuplées ou lorsqu’il y a de nombreuses explosions à l’écran, elle est techniquement plus que perfectible. Les temps de chargement, comme le retour menu, sont bien plus importants. De plus, la possibilité d’afficher le jeu sur les deux écrans n’existe plus. Zelda Breath of the Wild avait présenté le gamepad comme étant un second écran, permettant d’afficher par exemple, la carte du jeu. Ceci n’est plus d’actualité et pour cause Nintendo a souhaité faire en sorte que les versions Switch et Wii U disposent des mêmes dispositions, ce qui n’est pas au goût de tous. Visuellement parlant, cela n’a pas le même charme mais n’est pas déplaisant pour autant. On regrette juste – et principalement, cette technique pas loin d’être à la ramasse sur la Wii U. Très clairement, Big N a souhaité mettre en avant la Switch et s’est sans aucun doute focalisé sur cette dernière depuis son annonce et c’est regrettable. C’est peut-être l’un des seuls points faibles du titre son aspect technique. Loin de là l’envie de caractériser un jeu juste parce qu’il est techniquement perfectible, c’est tout de même assez important de le souligner. Malgré qu’il soit le titre majeur du lancement de la Switch, The Legend of Zelda Breath of the Wild est loin d’apporter une stabilité parfaite à la machine et a clairement du mal à la mettre en avant. Certes, on le sait que trop bien, il ne faut surtout pas juger un jeu à la hauteur de ses graphismes et encore moins le caractériser au lancement d’une nouvelle console, mais il est important de le souligner. Quelques chutes de FPS sont présentes et il n’est pas rare d’avoir des légers soucis d’affichage. Bien sûr, la mouture Switch reste plus que correcte mais comme vous pouvez le remarquer, le ressenti n’est pas le même pour la version Wii U. Cela est limite déplorable et la celle-ci n’avait pas à connaître un pareil downgrade. Les joueurs Wii U se sentiront lésés et il y a de quoi. À lire aussi The Legend of Zelda Breath of The Wild 2 montre enfin un tout nouveau trailer et sortira en 2022 Enfin, dernier point à aborder que certains aimeraient savoir sachez que vous aurez la possibilité de faire plusieurs sauvegardes. Il n’est donc pas impossible de créer plusieurs parties et de choisir celle souhaitée au lancement du titre. De plus, sachez que sur Switch en tout cas, la console sauvegarde automatiquement, même si vous n’avez plus de batterie. Cela vous permet de reprendre précisément là où vous avez arrêté votre partie sans perdre la moindre trace de votre progression. Une sauvegarde manuelle est également présente et peut-être utilisée, voire même abusée comme bon vous semble. Avec The Legend of Zelda Breath of the Wild, Nintendo tient là son principal argument de vente pour la Switch. Au détriment d’une version Wii U techniquement perfectible et clairement mise de côté, la mouture Switch a ce quelque chose en plus et pas des moindres jouer en mode tablette, peu importe où. Qu’il est jouissif de pouvoir jouer à un Zelda dans une aussi bonne résolution que ce soit dans son lit, son canapé et pourquoi pas, même aux toilettes. Plus difficile, plus immersif, plus ouvert, Zelda Breath of the Wild joue avec notre cœur de nostalgique tout en réussissant à potentiellement captiver un nouveau public. Difficile de lui trouver de véritables défauts et si l’on fait fi de ces quelques bâts qui blessent sur le plan technique, on a là la claque que l’on attendait. Alors oui, comme tout épisode canonique, il divisera une partie de la communauté. Se positionnant juste au dessus de Ocarina of Time, The Legend of Zelda Breath of the Wild est pour nous, le meilleur opus que la série a pu nous donner en termes d’innovations tout en ayant un charme inconditionnel. Zelda BOTW, DLC, Moto, Bike, DLC, Ode Héros, Astuces, Soluce Le DLC 2 de Zelda Breath of the Wild vous propose de terminer l'Ode aux Prodiges et de débloquer une Moto pour Link à l'issu du 5ème Donjon du jeu. Zelda Breath of the Wild vient d'accueillir son deuxième DLC l'Ode aux Prodiges. Celui-ci contient de nouveaux costumes, de nouveaux sanctuaires, mais aussi et surtout une moto ! Pour obtenir la moto de Link, vous allez devoir accomplir une série de quêtes vous faisant suivre les traces des Prodiges. En effet, la moto est la récompense à l'issu du donjon supplémentaire du DLC 2. Voici les 6 étapes menant jusqu'à votre bolide. Pré-requis Avant de partir à l'aventure, sachez que vous devez bien entendu posséder le DLC 2 de The Legend of Zelda Breath of the Wild. Vous devez également avoir terminé la quête principale Les Créatures Divines, en reprenant le contrôle des quatre titans mécaniques. Sachez que les libérer ne suffit pas, vous devez vous assurez d'avoir parlé au chef des quatre village après avoir terminé les donjons pour valider le début de l'Ode des Héros. Enfin, nous vous conseillons d'avoir le Masque de Majora avant de commencer la quête. Retour au Plateau du Prélude Si tous les pré-requis sont remplis, la princesse Zelda vous contactera pour vous inviter à retourner au sanctuaire de la Renaissance. De retour dans la toute première salle du jeu, déposez votre Tablette Sheikah là où vous l'aviez trouvé et la quête pourra démarrer. Vous allez devoir vous armer de la tétralame. Cette épée peut tuer tous les ennemis en un seul coup. En contre-partie, vous mourrez également si vous subissez le moindre dégât. Votre but avec cette arme va être de tuer les 4 camps ennemis qui sont apparus sur le Plateau. Pour chaque groupe tué, un sanctuaire apparaitra. Voici l'emplacement de ces 4 nouveaux sanctuaires en rouge C'est à ce moment là que le Masque de Majora vous sera utile puisque les monstres ne vous attaqueront pas tant que vous le porterez. De quoi grandement faciliter cette quête. Lorsque vous aurez éliminé les adversaires et terminé les 4 sanctuaires, la Tétralame se brisera et fera apparaitre 4 cercles de pierre. Les Épreuves des Prodiges Vous pouvez vous rendre à chacun de ces cercles de pierre dans l'ordre que vous le désirez, mais les 4 doivent être validées pour continuer la quête. Vous pouvez voir les différentes épreuves en détail sur nos guides dédiées. L'Épreuve de Mipha L'Épreuve de Daruk L'Épreuve de Revali L'Épreuve d'Urbosa La Cinquième Créature Divine Une fois les épreuves de tous les champions terminées, vous serez invité à vous rendre une fois de plus au Sanctuaire de la Renaissance. Déposez votre tablette une fois de plus à son emplacement initial et vous vous retrouverez dans un nouveau donjon. Le but va être de déverouiller les quatres verrous qui se trouvent au bout du donjon. Les verrous se trouvent aux quatre coins de la créature et vous aller devoir combiner tout ce que vous avez appris jusqu'ici pour y parvenir. Une fois tous les verrous ouverts, vous pourrez rencontrer le Sage et affronter le boss ultime de Zelda Breath of the Wild. Ce boss combine les attaques de tous les autres boss du jeu, dont le chef de Yagis. Lorsque vous l'aurez vaincu, vous obtiendrez enfin la moto de Link ! Elle s'active comme les différents pouvoirs du jeu et peut-être appelée presque n'importe où. Elle nécessite du carburant pour fonctionner, mais 8 rondins de bois suffisent à remplir entièrement son réservoir. A vous les promenades en bécane dans Hyrule ! regarder 0140 The Sandman Will Keep You Awake - The Loop Le sanctuaire de Kun'Shidaji est un des sanctuaires de Breath of the Wild, et l'un des quatre situés au cœurs des bois perdus, dans la région de la grande forêt d'Hyrule. Localisation[] Celui-ci se trouve dans le coin sud-ouest des bois, au niveau du lac Sariya. La voie pour y accéder passe par la forêt Korogu au centre des bois perdus. Le sanctuaire est lié à l'Épreuve du feu. Épreuve[] Pour y accéder, Link doit réussir l'épreuve du fer, proposée par Glanis à la forêt Korogu. Link est tout d'abord perdu au milieu d'un labyrinthe, et il doit se repérer en suivant les boules en métal qui se trouvent à l'intérieur des arbres morts de la forêt. À terme, il arrive face à un bouclier, qu'il doit placer à l'intérieur de la "bouche" d'un arbre devant lequel se trouve une stèle en pierre. Cela fait apparaître un coffre en fer, à transporter sur un radeau de l'autre côté de la rive. Ce coffre doit ensuite, lui aussi, être placé dans la bouche d'un arbre mort, pour faire resurgir le sanctuaire du l'intérieur, un coffre contenant un cœur antique géant peut être trouvé. Le moine Sheikah Mahmu'Lano remet directement son emblème du triomphe à Link, pour le féliciter d'avoir réussi à atteindre le sanctuaire. Le coffre utilisé pour faire apparaître le sanctuaire contient un trésor de base ambre brut. Galerie[] Transport du coffre à travers la sanctuaire sort de terre."Bénédiction de Kun'Shidaji"Kun'Shidaji avant que Link reçoive l'emblème du face à Lieux de Breath of the Wild Pays, Provinces et Régions Pays Hyrule Provinces Plateau du Prélude Province de Necluda Province de Lanelle Province de Firone Province d'Ordinn Province d'Akkala Province d'Hébra Contrées Gerudos Centre d'Hyrule Régions Plaine d'Hyrule Collines d'Hyrule Région Ouest de Necluda Région Est de Necluda Mer de Necluda Montagne de Lanelle Grande Source de Lanelle Marécages de Lanelle Mer de Lanelle Hauteurs Gerudo Désert Gerudo Hauteurs d'Akkala Profondeurs d'Akkala Chaîne d'Ordinn Ravin d'Ordinn Grande Forêt d'Hyrule Lac Hylia Prairie de Firone Mer de Firone Confins de Tabanta Chaîne d'Hébra Plateau du Prélude Bois des Esprits Cabane de Bûcheron Étang aux Grenouilles Mont Hylia Plateau du Prélude Rivière de l'Au-delà Ruines du temple de l'est Ruines du Temple du Temps Sanctuaire de la Renaissance Tour du Prélude Province de Necluda Alpages d'Éraple Bois de Cary Colline du Belvédère Forêt de Bubinga Hauteurs d'Huko Lac Celia Lac Morcé Lac Nabi Lac Nabi méridional Marais de Ferne Monts Géminés Plaine de Cernoir Pont d'Arfan Pont de Cocorico Pont de Prokis Relais des Géminés Tour des monts Géminés Village de Cocorico Village d'Elimith Laboratoire Antique d'Elimith Maison de Link Autres régions Ancien château d'Edal - Nord Ancien château d'Edal - Sud Château d'Hyrule Colline de Safula Île d'Edal Laboratoire Antique d'Akkala Laboratoire Royal Lac de Barrage de l'Est Lac Faroria Lac Toto Luterrane Hylia rivière Mont de la Foudre Mont Satori Pic Est d'Hébra Ruines de l'étape d'Hyrule Ruines de l'étape de l'est Ruines du Ranch Villages et Lieux-Dits Village Cocorico Village Goron Village Piaf Village d'Elimith Village d'Euzero Village d'Écaraille Domaine Zora Cité Gerudo Repaire des Yigas Temple Oublié Bazar Assek Mine du Sud Zone d'Exercice au Vol Château d'Hyrule Breath of the Wild Relais Relais Relais des Géminés Relais de Delass Relais de l'Est d'Akkala Relais de l'orée de la Plaine Relais de la Forêt Relais de la Rivière Relais des Alpages Relais des Marécages Relais des Piafs Relais des Prairies Gelées Relais du Canyon Gerudo Relais du Lac Relais du Pont de Tabanta Relais de l'Est d'Akkala Relais du pied de la Montagne Tours Sheikahs Tour Sheikah Tour du Prélude Tour de la Plaine Tour du Lac Tour des Monts Géminés Tour de Firone Tour d'Elimith Tour de Lanelle Tour d'Akkala Tour d'Ordinn Tour Sylvestre Tour des Collines Tour des Montagnes Gerudo Tour des Landes Sauvages Tour de Tabanta Tour d'Hébra Sanctuaires Sanctuaires Sanctuaire de Ja'Bashif Sanctuaire de Toumi'Soke Sanctuaire de Ma'Ohnu Sanctuaire de Wa'Modai Sanctuaire de la Renaissance Donjons Vah'Medoh Vah'Rudania Vah'Ruta Vah'Naboris Château d'Hyrule Repaire des Yigas Épreuves de l'Épée

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